Cette petite nouvelle est construite autour du parti pris de cataloguer une habitude linguistique assez commune. Un inventaire poétique qui expose les poncifs et les lieux communs résultant de l’utilisation excessive ou inappropriée de la troisième personne du pluriel. Cette forme nous revient ici jusqu’à l’excès, jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce qu’elle ait définitivement perdu tout son sens.